Un lourd secret de famille
J’ai toujours été le mouton noir
De la famille le vilain petit canard
Quand mon père se noyait dans la gnole
Il me foutait de grosses torgnoles
Il était mauvais comme une teigne
Parfois encore mon cœur saigne
Quand il m’enfermai dans la cave noire
Ou avec les balais dans le placard
J’ai eu la tête dans la cuvette des chiottes
Mais bordel pour quelle faute
Simplement pour lui avoir couper la parole
Il me disait espèce de mongole
Ma douce et tendre mère était ma protectrice
En souvenir elle portait une cicatrice
De son corps frêle elle faisait rempart
Pauvre femme elle en a pris des coquards
Sorti de l’ adolescence, je me suis dit < Mon vieux
Plus jamais tu ne porteras ta main sur nous deux >
Il rentra un soir bourré du café de la place
A cent mille lieux elle puait la vinasse
Dans sa main il était armé d’un couteau
A ma Maman il voulait lui faire la peau
Malheureusement il tomba sur son arme blanche
Comme le commun des mortels il finit entre quatre planches
Personne n’a jamais su la trame de notre histoire
La vérité est que c’est moi qui l’ai poussé dans le couloir
Après tant de violences, de mépris nous avions notre vengeance
Après tant d’années de souffrances, nous avions notre délivrance
Ecrit et faits fictifs
J’ai toujours été le mouton noir
De la famille le vilain petit canard
Quand mon père se noyait dans la gnole
Il me foutait de grosses torgnoles
Il était mauvais comme une teigne
Parfois encore mon cœur saigne
Quand il m’enfermai dans la cave noire
Ou avec les balais dans le placard
J’ai eu la tête dans la cuvette des chiottes
Mais bordel pour quelle faute
Simplement pour lui avoir couper la parole
Il me disait espèce de mongole
Ma douce et tendre mère était ma protectrice
En souvenir elle portait une cicatrice
De son corps frêle elle faisait rempart
Pauvre femme elle en a pris des coquards
Sorti de l’ adolescence, je me suis dit < Mon vieux
Plus jamais tu ne porteras ta main sur nous deux >
Il rentra un soir bourré du café de la place
A cent mille lieux elle puait la vinasse
Dans sa main il était armé d’un couteau
A ma Maman il voulait lui faire la peau
Malheureusement il tomba sur son arme blanche
Comme le commun des mortels il finit entre quatre planches
Personne n’a jamais su la trame de notre histoire
La vérité est que c’est moi qui l’ai poussé dans le couloir
Après tant de violences, de mépris nous avions notre vengeance
Après tant d’années de souffrances, nous avions notre délivrance
Ecrit et faits fictifs